Quatre femmes, femmes qui gagnent à être connues !

Roselyne, la baba un peu trop cool

49 ans, en pleine forme, végétarienne, conçue le soir de Woodstock. Elle est jardinière astroloque complètement perchée. Elle vit dans une ferme ardéchoise avec son mari et son jardin mexicain…C’est la plus chaleureuse et la plus gentille des quatre : la vraie sympa qui ne s’énerve jamais. Même pas après son mari, qui n’a plus guère d’intérêt que pour le yoga, l’escalade, les extra-terrestres ou les causes perdues.

Séverine, la chef d‘entreprise glaçante

Une femme avec du coffre et un coffre-fort bien rempli. Elle a gagné chaque centime en travaillant deux fois plus que les hommes qui l’entourent. Fan absolue du contrôle total, elle ne supporte pas que son corps lui joue des tours. Devenue patronne de sa boîte, elle est motivée par la peur de l’échec … Elle se rend compte avec la ménopause qu’elle est juste une femme comme les autres … ni Wonder Woman, ni la seule à descendre la pente. Elle est mariée à Paul qui est aussi son employé.

Odile, l’actrice en mal de rôles

La cinquantaine, attirante, bien conservée, un peu botoxée et quelque peu manipulatrice. Elle a du mal à se voir vieillir. Sans mari, sans enfants (course au succès oblige), la solitude pointe le bout de son nez. La rencontre avec ces 3 autres femmes va mettre à jour sa folle capacité d’autodérision et une lucidité étouffée depuis longtemps. ; Ainsi armée, elle arrivera enfin à voir plus loin que le bout de son nez (refait) pour affronter la suite de la vie, la sienne, la leur.

Nadine, la mère de famille nombreuse

Mère au foyer depuis … toujours, 8 enfants à son actif qui vivent encore sous son toit et un mari qui, quoique sympathique, ne la regarde plus tellement. Elle l’a accompagné à Paris pour une convention et (secrètement) tenter de redonner un semblant de souffle à leur mariage. Cette rencontre va lui piquer les fesses et les méninges, la réveiller de tant d’années passées à côte d’elle-même. Elle va se retrouver et montrer qu’une mère de famille ne manque ni d’esprit, ni de caractère, ni de courage, et qu’il n’est jamais trop tard pour se retrouver. Ça a du bon l’adversité.

Spectacle à Paris

Prolongation jusqu'au 4 janvier 2026 !

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